CAUCASE - Depuis 1989

CAUCASE - Depuis 1989
CAUCASE - Depuis 1989

Caucase

La disparition de l’U.R.S.S. en 1991 a eu pour conséquence une véritable “balkanisation” du Caucase. Les guerres interethniques et les guerres civiles se multiplient sur fond de catastrophe économique. La Transcaucasie, indépendante depuis 1991, et le Caucase septentrional, resté dans la fédération de Russie, sont tous deux touchés. Profitant de ce chaos, la Russie mène un habile jeu de balance en soutenant alternativement l’un ou l’autre camp en fonction de ses propres intérêts. Cette tactique lui a permis de reprendre solidement pied dans cette région, bloquant ainsi l’influence grandissante de deux nouveaux, mais historiquement anciens, rivaux: la Turquie et l’Iran.

L’Arménie est en guerre contre l’Azerbaïdjan depuis 1989. Cette guerre entraîne Bakou dans une guerre civile non dépourvue de tendances sécessionnistes. La Géorgie, en proie aux dissidences minoritaires, a basculé aussi dans la guerre civile. Le Caucase du Nord est en ébullition. Trois républiques autonomes sont en conflit les unes avec les autres alors que l’une des trois a unilatéralement quitté la fédération de Russie. La crise économique qui secoue l’ensemble de l’ex-U.R.S.S. est aggravée par ces conflits meurtriers. La Transcaucasie, qui fut le verger, la réserve de pétrole et de produits chimiques de l’Union soviétique, s’enfonce dans la paupérisation. En 1993, le P.N.B. par habitant de la Géorgie est tombé à 1 950 dollars, celui de l’Azerbaïdjan à 2 220 dollars et celui de l’Arménie à 2 450 dollars. Ces trois républiques indépendantes ont donc dû rester dans le giron de la Communauté des États indépendants (C.E.I.) ou y revenir, comme l’a toujours souhaité Moscou. Mais, jusqu’en 1992, cette dernière n’avait pas encore les moyens de les y contraindre.

Le conflit arméno-azéri

Le conflit particulièrement meurtrier qui oppose Arméniens et Azéris (plus de 15 000 tués au total) plonge ses racines dans la politique des nationalités mise en œuvre dès 1920 par Staline. L’Arménie anticommuniste est punie par les autorités soviétiques. Le Nakhitchevan arméno-azéri, enclavé entre l’Arménie et la Turquie, devient une république autonome rattachée à l’Azerbaïdjan en 1924. Le Haut-Karabakh arménien se transforme en région autonome dépendant de Bakou en 1923. L’Akhaltskha et l’Alkhalkalak arméniens sont rattachés à la Géorgie. Cette dernière, à majorité menchevik jusqu’en 1921, se voit dépouillée des républiques autonomes d’Adjarie et d’Abkhazie et de la région autonome d’Ossétie du Sud. Enfin, Tchétchènes, Ingouches, Balkars, Karatchaïs sont tous déportés en Sibérie et en Asie centrale par Staline en 1944.

Engoncé dans sa gangue stalinienne, le nationalisme caucasien relève ouvertement la tête en octobre 1987. Cent mille Arméniens manifestent contre la pollution de leur république, dédiée à l’industrie chimique lourde, et contre la mainmise de plus en plus pesante de Bakou sur le Haut-Karabakh. Grâce à leurs relations avec la diaspora, les Arméniens sont plus ouverts sur l’extérieur et sont les premiers, avec les Baltes, à secouer le joug soviétique. En février 1988, les Arméniens du Karabakh manifestent à leur tour. Face aux premières violences interethniques, Moscou met en place une commission spéciale d’administration du Karabakh en janvier 1989. Mais, dans les deux camps, les forces nationalistes sont en train de saper l’autorité des communistes. Les Arméniens créent le Mouvement national arménien (M.N.A.) en juin 1989, suivis un mois plus tard par le Front populaire d’Azerbaïdjan (F.P.A.), qui commence à organiser le blocus de l’Arménie et du Karabakh. En octobre, Moscou envoie dix mille soldats en renfort dans le Caucase.

Le 30 novembre 1989, Erevan saute le pas et annonce unilatéralement la création d’une république unifiée d’Arménie et du Karabakh.

Le 20 mai 1990, le M.N.A. gagne les premières élections législatives libres en Arménie, obtenant les postes de président du Parlement et de Premier ministre. Ces nouvelles autorités proclament la souveraineté du pays le 23 août. Erevan refuse donc de participer au référendum de Gorbatchev sur l’avenir de l’Union en mars 1991. Aussitôt et jusqu’en juillet 1991, l’armée soviétique et les milices azéries attaquent l’Arménie et occupent tout le nord du Karabakh, dont la capitale, Stepanakert, est régulièrement bombardée par les Azéris. Cependant, les premières milices arméniennes, se battant à un contre cinq, résistent assez bien.

L’échec du putsch du 19 août 1991 à Moscou va considérablement changer la situation dans le Caucase. Les trois républiques de Transcaucasie vont chacune proclamer leur indépendance. Avec la disparition de l’U.R.S.S., l’Arménie, isolée, choisit de rejoindre la C.E.I., alors que la Géorgie et l’Azerbaïdjan s’y refusent. Levon Ter-Petrossian, leader pragmatique du M.N.A., devient le premier président de la République d’Arménie élu librement et organise pacifiquement la transition démocratique. En Azerbaïdjan, c’est le communiste Ayaz Moutalibov qui enlève la présidence. Mais dans cette république la transition démocratique échoue. Communistes et nationalistes s’affrontent violemment, s’accusant mutuellement d’être incapables de réduire le Karabakh. Ce dernier proclame unilatéralement son indépendance le 8 janvier 1992, sous le nom de république d’Artsakh, et profite du départ des derniers soldats russes pour passer à la contre-offensive. Ayaz Moutalibov est alors chassé en mars et remplacé par Iakoub Mamedov jusqu’à la deuxième élection présidentielle libre. Les victoires des Arméniens qui réussissent à ouvrir un couloir entre l’Arménie et le Karabakh (le corridor de Latchine) accentuent les tensions à Bakou. Moutalibov échoue dans sa tentative de reprendre le pouvoir le 14 mai et, lors de la présidentielle du 7 juin, c’est le président du F.P.A., Aboulfaz Eltchibey, qui est élu avec 60 p. 100 des suffrages. Quand les Arméniens libèrent la moitié du Karabakh du Nord, Surat Huseynov, ministre de la Défense azéri, est limogé, le 23 février 1993. Deux mois plus tard, les Arméniens du Karabakh occupent tout l’ouest de l’Azerbaïdjan, qui les sépare de l’Arménie.

Moscou, agacé par la politique proturque et pro-occidentale du président Eltchibey, commence à faire pression sur l’Azerbaïdjan, doté de riches gisements pétroliers. Alors que les Arméniens poussent leur avantage durant l’été, contrôlant près de 25 p. 100 du territoire azéri, Surat Huseynov se soulève à Gandja les 5 et 6 juin. Affolé, Eltchibey appelle Gaïdar Aliev à la rescousse. Ancien patron du K.G.B. azéri puis du Parti communiste, ce dernier fut membre du Politburo de 1982 à 1987. Destitué par Gorbatchev, il était retourné dans son Nakhitchevan natal, dont il avait pris le contrôle au début des années 1990. Refusant un strapontin, il accepte de devenir président du Parlement le 15 juin, chasse Eltchibey le 18, nomme Huseynov Premier ministre le 30. Ce communiste prorusse réintègre son pays dans la C.E.I. le 24 septembre et se fait élire président de la République avec 98,8 p. 100 des voix. Mais, durant cette période de trouble, la minorité talyche iranophone a proclamé durant deux mois sa république indépendante dans le sud du pays (juin-août).

Les Russes, qui ont laissé faire les Arméniens pour mieux reprendre en main l’Azerbaïdjan, n’apprécient guère la politique pro-occidentale du président Ter-Petrossian. Ils laissent alors s’opérer une contre-offensive généralisée des Azéris en janvier-février 1994. Mais, les mêmes causes ayant les mêmes effets, Huseynov est de nouveau limogé le 6 août 1994 et se révolte à Gandja le 4 octobre. Plus habile qu’Eltchibey, Aliev finit par rétablir, difficilement, la situation. Quant aux Arméniens, épuisés par cinq ans de guerre, par le blocus et la crise économique, ils sont de plus en plus désabusés. Ter-Petrossian a su calmer au début de 1993 l’opposition virulente du vieux parti traditionnel Dashnak, très puissant dans la diaspora, mais, lors d’un sondage réalisé en avril 1994, il ne recueille que 23 p. 100 d’intentions favorables, et son parti, le M.N.A., seulement 6 p. 100. Cependant, comparée au reste du Caucase, l’Arménie reste un pôle de stabilité. D’ailleurs, depuis mai 1994, le cessez-le-feu est en partie respecté au Karabakh.

La Géorgie dans la tourmente

Patrie de Staline et de Béria, la Géorgie fut considérée à tort ou à raison comme l’enfant gâté de l’U.R.S.S. Mais la complexité ethnique liée à l’ultranationalisme des Géorgiens, qui se considèrent comme “la plus vieille nation du monde”, va entraîner cette république dans l’abîme. Dès 1987-1988, l’opposition anticommuniste est particulièrement morcelée et pratique la surenchère nationaliste. Les minorités en sont les premières victimes. En juin 1988, les Meskhètes (Géorgiens turcophones islamisés) sont attaqués par les nationalistes.

Depuis 1978, les cent mille Abkhazes, représentant 18 p. 100 de la population de cette république autonome, demandent leur rattachement à la fédération de Russie pour se rapprocher des républiques autonomes du Caucase du Nord, dont ils se sentent plus proches. En mars 1989, le Parlement abkhaze fait sécession d’une Géorgie en pleine effervescence nationaliste. Cette dernière déclare son droit de séparation de l’U.R.S.S. dès l’été de 1990. En octobre, les nationalistes forcenés de Zviad Gamsakhourdia remportent les élections. Tout comme les Arméniens, les Géorgiens s’abstiennent lors du référendum sur l’Union en mars 1991.

Du 15 au 20 juillet 1989, les Abkhazes se révoltent dans Soukhoumi. Le 25 août 1990, ils proclament la souveraineté de leur république. En 1991, les Abkhazes prennent les armes dans le nord du pays, aidés par la Confédération des peuples du Caucase (C.P.C.) et par l’armée russe. Le 7 juillet 1992, le Parlement abkhaze proclame l’indépendance. Un mois plus tard, l’armée géorgienne occupe Soukhoumi. Les Abkhazes contrôlent alors le tiers nord de cette république et mènent une contre-offensive victorieuse le 15 mars 1993. En septembre, presque toute l’Abkhazie est passée sous leur contrôle. Le 26 novembre 1994, Vladislav Ardzinba est proclamé président de l’“État souverain d’Abkhazie”.

Dès novembre 1989, les Géorgiens s’en prennent aussi à la région autonome d’Ossétie du Sud. Les Ossètes sont des Indo-Européens qui souhaitent être rattachés à l’Ossétie du Nord et donc à la fédération de Russie. En décembre 1990, leur autonomie est supprimée par Tbilissi. Thorez Gouloumbegov, président du Parlement ossète, est arrêté alors qu’il vient négocier en janvier 1991. Les combats reprennent en Ossétie en septembre-octobre 1991 et en mai 1992. Mais, aidés par les Ossètes du Nord et les Russes, les Ossètes du Sud prennent le contrôle des deux tiers de leur région en 1993-1994.

Les Azéris, les Arméniens et les Grecs sont aussi les victimes des nationalistes géorgiens. Grâce à l’opération Toison d’or, des milliers de Grecs sont rapatriés en Grèce par les autorités d’Athènes en 1993-1994. Mais les Géorgiens se combattent aussi entre eux. En mai 1991, Zviad Gamsakhourdia est élu président de la République au suffrage universel avec 87 p. 100 des suffrages. Peu après, il limoge son Premier ministre, Tenguiz Sigoua, et fait tirer sur une manifestation démocratique en septembre. En décembre, une guerre civile intergéorgienne éclate à Tbilissi. En janvier, le président se réfugie en Mingrélie, sa région natale, puis en Tchétchénie. En mars 1992, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Gorbatchev Edouard Chevardnadze prend la tête d’un Conseil national puis est élu président de la République au suffrage universel avec 90 p. 100 des voix, en octobre 1992. Les Russes, qui ont soutenu les minorités contre Gamsakhourdia, font à nouveau volte-face, car Chevardnadze ne se montre pas assez souple à leur égard. Les troupes du premier président, aidées par les Russes et les Abkhazes, marchent sur Tbilissi en octobre 1993. Chevardnadze, fin diplomate, comprend le danger. Il fait aussitôt réintégrer son pays dans la C.E.I., ce qui entraîne la rapide débâcle de ses ennemis et la mort de Gamsakhourdia au cours des combats, le 31 décembre 1993.

Comme en Azerbaïdjan, la Russie a su habilement jouer sur le problème des minorités et les luttes de pouvoir internes afin de rétablir son influence. Depuis que Moscou a perdu la majeure partie de son littoral méridional, passé sous juridiction ukrainienne, la bande côtière géorgienne a repris de l’importance.

La mosaïque nord-caucasienne

Dans cette mosaïque de peuples qui fait le bonheur des linguistes du monde entier, les conflits interethniques et la crise économique font les mêmes ravages qu’en Transcaucasie. Là aussi, la Russie profite de ces tensions pour contrer un mouvement pancaucasien antirusse.

De la mer Noire à la mer Caspienne, une multitude de peuples indo-européens, turco-mongols et caucasiens se côtoient: Adyghéens, Tcherkesses, Karatchaïs, Kabardes, Balkars, Ossètes, Ingouches, Tchétchènes, Avars, Koumyks, Laks, Tabasarans, Lesghins, Darghins..., soit au total près de cinq millions de personnes, sans compter plusieurs millions installés en Transcaucasie, en Turquie, en Syrie, au Liban et en Jordanie.

La Tchétchénie avec son million d’habitants est l’élément le plus actif de cette région. Forte de sa tradition mafieuse bien implantée dans les grandes villes de l’ex-U.R.S.S. et des anciennes démocraties populaires d’Europe orientale et de sa production de pétrole, dont une partie arrive clandestinement en Serbie, elle peut se permettre de provoquer Moscou. Le 27 octobre 1991, le général d’aviation Djokhar Doudaev est élu président de la République autonome tchétchène. Six mois plus tard, il proclame unilatéralement son indépendance face à la fédération de Russie. Mais cette république réunissait Tchétchènes et Ingouches de religion musulmane. Les premiers laissent les seconds à leur sort dans le quart occidental de l’ancienne république. Se sentant spoliés, les Ingouches se retournent contre les Ossètes du Nord, en majorité chrétiens. En effet, ces derniers ont obtenu l’Ingouchie occidentale lors du découpage du Caucase par Staline. En octobre 1992, les Ossètes expulsent de la capitale, Vladikavkas, les Ingouches irrédentistes. Les troupes russes, qui soutiennent les Ossètes du Sud contre les Géorgiens, apportent aussi leur aide aux Ossètes du Nord. Moscou espère par contrecoup déstabiliser la Tchétchénie, qui refuse l’autorité russe. Trois cent mille soldats russes encerclent ces indépendantistes, et la Russie supprime toute l’aide à Grozny. Cette capitale de la Tchétchénie est le théâtre d’affrontements entre opposition et gouvernement, tout comme Bakou et Tbilissi, en avril 1993. Doudaev, qui a l’apparence d’un chef de mafia, dissout le Parlement. Les affrontements ont lieu en mai-juin et en décembre. Après quelques mois d’accalmie, les combats reprennent en juillet et novembre 1994. Mais, fort de son armement sophistiqué acheté au marché noir et du soutien d’autres peuples nord-caucasiens, Doudaev résiste. Finalement, les troupes russes entrent en Tchétchénie et leur aviation bombarde Grozny à la mi-décembre 1994.

Malgré les tensions nord-caucasiennes, la Russie a du mal à briser une certaine solidarité de la C.P.C. Le Parlement de la C.P.C. a son siège à Soukhoumi, chez les Abkhazes de Géorgie. Sa vocation est la création d’une confédération nord-caucasienne indépendante de la Russie et de la Transcaucasie, grâce à une armée bien réelle qui est dirigée par le Kabarde Ouri Chanibov. Quant au Daghestan voisin, il menace à tout moment d’imploser. Les Koumyks et les Lesghins sont de plus en plus autonomistes, ce qui permettrait à la Russie de peser encore plus sur l’Azerbaïdjan et la Kalmoukie bouddhiste, puisque ces deux peuples sont transfrontaliers.

Les difficultés de la perestroïka mourante entraînant la montée des nationalismes dans toutes les républiques de l’ex-U.R.S.S. ont obligé le “Centre” (Moscou) à abandonner les pays Baltes, l’Asie centrale, les républiques occidentales slavophones et roumanophone ainsi que le Caucase. Pourtant, la Russie n’a jamais renoncé à son aire d’influence traditionnelle, en particulier sur sa frontière sud: vieux rêve d’accès aux mers chaudes.

Ébranlée par l’implosion de l’empire en décembre 1991, la Russie a tenté non sans habileté de revenir à ses frontières de 1945. Elle l’a plus ou moins réussi grâce à la résurgence des vieux conflits interethniques, gelés depuis les années 1930. Moscou le souhaite tant au point de vue géopolitique qu’au point de vue géo-économique. Le pétrole et le gaz de la mer Caspienne et des régions avoisinantes risquaient de passer sous le contrôle des Occidentaux, des Turcs, voire des Iraniens. À la fin de 1994, des accords sont signés pour détourner vers le Caucase du Nord, la Russie méridionale, la Bulgarie et la Grèce les flux d’énergie pouvant passer par l’Azerbaïdjan, l’Iran et la Turquie, débouchant sur la Méditerranée orientale.

Enfin, la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (C.S.C.E.) a voulu s’occuper des conflits du Karabakh et de l’Ossétie, alors que l’O.N.U. se penchait essentiellement sur l’Abkhazie. N’ayant ni les moyens ni l’envie de s’y investir efficacement, ces organisations internationales qui, pour la première fois, pouvaient intervenir dans l’ex-U.R.S.S. ont préféré bon an, mal an, abandonner leurs prérogatives à la nouvelle puissance non plus mondiale mais régionale qu’est la Russie.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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